Avec la collection “Essais libres” : Circourt donne carte blanches aux artistes

SethOne : Marqué par la prolifération des tags et graffitis de Paris et sa banlieue dans les >années 80, SethOne débute le graffiti au début des années 90 au sein des groupes STS puis CLM. Son travail sur toile se développe plus tard avec la volonté de travailler la dynamique de ses lettres de manière différente que sur mur. Ce procédé baptisé par lui Graffolyse consiste en la disparition de la lettre, sa dégradation qui laisse place aux composants, ornements, dynamiques et lignes fortes pour créer un instantané d’ensemble en mouvement. A cette transformation viennent s’ajouter de nombreuses influences : le pop art, les arts premiers, l’art contemporain, l’imagerie de la culture skate, le surf et les comics des années 90…

Virginie Caillet : le thème de prédilection de Virginie Caillet est l’exploration du féminin et de la féminité à travers ses portraits et ses nus. Ses peintures figurent notamment dans la collection de Jérôme Godart et Saad Hariri. Artiste résidente de la Galerie Bailly à Paris, elle présente ses oeuvres dans le cadre de l’exposition « Regard sur l’enfance » en 2007, puis participe à l’exposition « Dessins Contemporains ». En 2010 une de ses toiles est exposée à « ART BASEL » sur le stand de la KRAMPF Gallery. Cette même année John Galliano s’en inspire ainsi que d’autres artistes pour créer son rouge dior, couleur de la passion.